« Ce sépulcre, mon enfant,
te recouvre ;
la cendre ne peut rien avoir de
sensible.
Pourtant si de toi survit quelque part,
reconnais, mon enfant
Que tu étais heureuse,
quand la première jeunesse te ravit.
Pour nous, nous traînerons notre vie
dans le deuil et les ténèbres :
Voilà le prix, ma fille,
que j'ai semé à ma paternité. »